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Barbara Guilaume: " Nou se fanm ki gen rezistans"

In Haiti, there are several women's organizations and many have emerged in recent years. Already a nagging question haunts; How the Haitian woman, known for its resistance, strength and intelligence, she was able to leave or depart avoided in areas of power and leave the country become what threatened to accelerated desertification and characterized by violent place increased hunger and underdevelopment? The key question should be: how, as activist women of this land, preferred training or any other benefits, we could meet the challenge of poverty and instability in Haiti?

Representatives of several women's organizations, have already questioned our story of life and society, and have worked on the necessary structural bases to analyze the underdevelopment of the country. Others took their responsibilities by motivating our patriots to accept the contribution of women to the National Reconstruction. Today, we reach these women and their organizations, we ask them to accept our participation as a Democrat politician, sociologist to the rescue of those brave women who have the ability, the potential but still remain "bra kwaze ki konn pa ki sen pou yo rele "deal with technical problems. These women who call for help for a "tikrik tikrak" they could have foreseen or prepare accordingly, have unfortunately not the proper tools required or they need. Obviously Kay Fanm, sofa, Fanm Yo la, Cofel, Women and Democracy and others are there to support us, as they always have. We have proven through the Network of Women Candidates we can support us one another despite our differences. Fepocha together with CIREF led major battles. This is what leads us to believe that we can through technical services directly to women, achieve better results. a full-service office (technical) set on foot by several women's organizations, will serve all those who have the potential and want to make concrete actions for the future of this country and for the empowerment of the Haitian woman. This office will enable us to:

  • Assist and mentor women who want to change their lives

  • Fight against violence in all forms, against women

  • Defending equality of gender and elections or appointments to post of decisions and in the management or marketing projects

  • Working in the promotional area of ​​women while raising awareness for dynamic production group of the art industry, marketing and health

  • Promote women entrepreneur throughout the region

  • Make civic education women using every means that can really educate: meetings, training seminars, demonstrations, rallies in public places, radio show etc. ·

  • Defend the limit of its possibilities the material interests of its members

  • Promote the exchange of ideas among different regions in order to know the specific needs of national production

  • Consolidate skills in a database to search for and find better jobs to offer women. a way to eradicate once and for all, unemployment in the feminine.

We are delighted to announce our new online learning-based communities in recovery ... after a natural disaster or man-made (call, crisis prevention and knowledge of terrain ) - This type of information is essential and what we want to offer free and easily - www.weadvance.org. Our first objective is Haiti where we worked for the past five years - the web site will be for all communities who want to use it. We are a (C) 3 (tax-deductible 501). The co-founders of the University We Advance are: Maria Bello (Actor, Activist, Author) Clare Munn (Entertainment) Barbara Guillaume (Haitian Artist, activist, politician) and Suzanne Lerner (Vice President of Michael Stars).

Marie Rebecca (Barbara) Guillaume

Licenciée en Gouvernance et Collectivités Territorialle/ Maitre en Formation à Distance/ Spécialiste en Communication, Gestion Organisationnelle et Technique de Genre

En Haïti, il existe plusieurs organisations de femmes et beaucoup ont vu le jour ces dernières années. Déjà, une question lancinante hante les esprits; Comment, la femme Haïtienne, connue pour sa résistance, sa force et son intelligence, a-t-elle pu se laisser écarter ou éviter dans les espaces du pouvoir et laisser le pays devenir ce lieu menacé de désertification accélérée et caractérisée par la violence, la faim et un sous-développement accru ? La question essentielle devrait être : comment, en tant que, femme militante de cette terre, privilégiée de formation ou de tous autres avantages, nous pourrions relever le défi de la misère et de la déstabilisation en Haïti? Des représentantes de plusieurs organisations de femmes, ont déjà questionné notre histoire de vie et de société, et ont travaillé sur des bases structurelles nécessaires en vue d’analyser le sous-développement du pays. D’autres ont pris leurs responsabilités en motivant nos patriotes d’accepter la contribution des femmes pour la reconstruction Nationale. Aujourd’hui, nous rejoignons ces femmes et leurs organisations, nous leur demandons d’accepter notre participation en tant que politicienne démocrate, sociologue à la rescousse de ces braves femmes qui ont la capacité, la potentialité mais qui restent toujours « de bra kwaze ki pa konn ki sen pou yo rele » face aux problèmes techniques. Ces femmes qui appellent au secours pour un " tikrik tikrak " qu’elles auraient pu prévoir, voire se préparer en conséquence, n’ont malheureusement pas l’outil convenable ou nécéssaire qu’il leur faut. Il est évident que Kay Fanm, Sofa, Fanm Yo la, Cofel, Femmes et Démocratie et autres sont là pour nous épauler, nous accompagner, comme elles l’ont toujours fait. Nous avons prouvé à travers le Réseau des Femmes Candidates que nous pourrons nous supporter l’une l’autre malgré nos différences. Fepocha de concert avec CIREF a mené de grandes batailles. C’est ce qui nous invite à croire que nous pourrons à travers des services techniques offerts directement aux femmes, aboutir à de meilleurs résultats. un bureau multiservice (technique) mis sur pieds par plusieurs organisations féminines, va servir toutes celles qui ont la potentialité et qui veulent faire des actions concrètes pour le devenir de ce pays et pour l’émancipation de la femme Haïtienne. Ce bureau nous permettra de :

  • Assister et encadrer les femmes qui veulent changer leurs conditions de vie

  • Combattre la violence, sous toutes les formes, faite aux femmes· Défendre léquité de genres quant aux élections ou nominations à des postes déci- sionnelles et dans la gestion ou commercialisa- tion de projets.

  • Travailler dans le domaine promotionnel des femmes tout en les sensibilisant en matière de dynamisme de groupe de production, darti- sanat, de commercialisation et de santé.

  • Promouvoir lentreprenariat au féminin dans toute la région.

  • Faire l'éducation civique des femmes en utilisant tous les moyens pouvant réellement les éduquer: réunions, séminaires de forma- tion, manifestations, rassemblements sur les places publiques, émissions au niveau des radios etc

  • Défendre dans la limite de ses possibilités les intérêts matériels de ses membres.

  • Promouvoir la circulation des idées au sein des différentes régions en vue de connaître les besoins spécifiques en matière de production nationale.

  • Regrouper les compétences dans une banque de données afin de mieux chercher et trouver des jobs à offrir aux femmes, une façon d’éradiquer une fois pour toute, le chômage au féminin

Nous sommes ravis d'annoncer le lancement de notre nouveau site d'apprentissage en ligne axé sur les communautés dans la récupération après ...une catastrophe naturelle ou d'origine humaine (appeler, la prévention des crises et de la connaissance de relief) - ce type d'information est essentiel et ce que nous souhaitons offrir gratuitement et facilement - www.weadvance.org. Notre premier objectif est Haïti où nous avons travaillé pendant les cinq dernières années - la vision sera pour toutes les collectivités qui veulent s'en servir. Nous sommes un (C) 3 (déductibles d'impôt 501). Les co-fondateurs de l'Université We Advance sont: Maria Bello (Acteur, Militant, Auteur) Clare Munn (Divertissement Exec) (Barbara Guillaume (Artiste haïtienne, activiste, politicienne), et Suzanne Lerner (Président de Michael Stars).

Contact Barbara at (509) 3733-9582

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